Guy Alexandre
Sounda
Texte chapeau chronique 2
Ce roman raconte l’histoire de la princesse Tshala Nyota Moelo, qui s’affranchit des codes d’une des plus prestigieuses monarchies du Congo précolonial. Séduite par un jeune colon belge, elle finira dans le dernier zoo humain de l’Europe. Nous voilà plongés au cœur du « village congolais » de l’Exposition universelle.
Un roman à double tranchant
Paris, 15 novembre 2023
Ce roman raconte l’histoire de la princesse Tshala Nyota Moelo, qui s’affranchit des codes d’une des plus prestigieuses monarchies du Congo précolonial. Séduite par un jeune colon belge, elle finira dans le dernier zoo humain de l’Europe. Nous voilà plongés au cœur du « village congolais » de l’Exposition universelle et internationale de Bruxelles de 1958, où l’on retrouve l’œuvre coloniale dans toute son ignominie. Ce roman raconte l’histoire de la princesse Tshala Nyota Moelo, qui s’affranchit des codes d’une des plus prestigieuses monarchies du Congo précolonial. Séduite par un jeune colon belge, elle finira dans le dernier zoo humain de l’Europe. Nous voilà plongés au cœur du « village congolais » de l’Exposition universelle et internationale de Bruxelles de 1958, où l’on retrouve l’œuvre coloniale dans toute son ignominie.
Ce roman raconte l’histoire de la princesse Tshala Nyota Moelo, qui s’affranchit des codes d’une des plus prestigieuses monarchies du Congo précolonial. Séduite par un jeune colon belge, elle finira dans le dernier zoo humain de l’Europe. Nous voilà plongés au cœur du « village congolais » de l’Exposition universelle et internationale de Bruxelles de 1958, où l’on retrouve l’œuvre coloniale dans toute son ignominie. Ce roman raconte l’histoire de la princesse Tshala Nyota Moelo, qui s’affranchit des codes d’une des plus prestigieuses monarchies du Congo précolonial. Séduite par un jeune colon belge, elle finira dans le dernier zoo humain de l’Europe. Nous voilà plongés au cœur du « village congolais » de l’Exposition universelle et internationale de Bruxelles de 1958, où l’on retrouve l’œuvre coloniale dans toute son ignominie.
Guy Alexandre Sounda